1. Qui je suis et pourquoi je fais ça ?
Je m’appelle Delphine. Je suis une exploratrice de l’humain, une traductrice d’émotions, une tisseuse de liens.
Pendant longtemps, j’ai cru qu’il fallait “se contrôler” pour être aimée. Que ressentir trop fort, c’était “trop”. Que je devais m’adapter, me taire, être parfaite.
Puis un jour, j’ai compris que la paix ne vient pas du silence, mais de l’écoute. De l’écoute de soi. De ses émotions. De ce qui hurle à l’intérieur quand tout semble calme dehors.
Depuis, j’ai fait de cette quête — celle de l’apaisement, de la justesse, de la reconnexion — mon chemin… et mon métier.

2. Ce que je propose ici
J’aide les personnes en transition — celles qui ont traversé un choc, une rupture, une perte de sens — à reprendre contact avec leur boussole intérieure.
Ici, tu trouveras des ressources pour comprendre ta colère, écouter tes émotions, exprimer ce qui est vivant en toi sans exploser ni t’éteindre.
J’accompagne tout particulièrement celles et ceux qui veulent retrouver leur pouvoir d’agir, sans violence, sans culpabilité.
Ce site est pour toi si tu veux arrêter de te juger, de réagir à chaud, ou de porter seul.e ce que tu ressens.
Je ne t’apporte pas de baguette magique. Je t’offre des clés. Des clés du bonheur, du calme, du lien.

3. Mon parcours
Je suis coach certifiée, formatrice en communication et parentalité consciente, passionnée par la Communication Non Violente (CNV), que j’ai étudiée pendant près de neuf ans et que j’applique aujourd’hui pleinement dans ma vie, avec intégrité et justesse et encore parfois maladresse, je vis ma vie consciemment.
Je me suis également formée à la régulation émotionnelle et à la Neurographica, que j’intègre dans mes accompagnements pour favoriser une reconnexion douce, profonde et créative à soi.
J’ai animé des ateliers, accompagné des parents, des adolescents, des adultes en quête de paix. Je vis en Nouvelle-Calédonie depuis 1997, avec une âme de nomade et un ancrage dans l’authenticité.
Aujourd’hui, je prépare un nouveau départ, celui de Digital Nomade, pour continuer à semer du lien là où le monde a parfois laissé des blessures.

4. Pourquoi je crois en ce que je fais ?
Parce que je l’ai vécu. Parce que j’ai connu la perte de repères, la colère rentrée, l’impression de ne plus savoir qui j’étais. Et parce que j’ai vu — chez moi comme chez les autres — la beauté de ce qui émerge quand on ose traverser ce qu’on ressent.

Mon plus grand bonheur ?
Voir une personne retrouver sa lumière. Même vacillante. Même fragile.
Parce qu’à partir de là, tout devient possible.

💛 Bienvenue